Il trainait ses pieds sur le sable mouillé des nuits de pleine lune, la plage lui paraissait être un havre de paix face a l’agitation de la ville.
Dans le village peu de gens lui parlais.
Il étais considéré comme un loup solitaire, il n’étais pas rejeté car il travaillait bien en tant que pêcheur, mais il n’arrivait pas a s’intéresser aux coutumes de son village, ni a participer aux messes.
Pour les gens du village quelqu’un qui ne pratiquais pas la religion étais quelqu’un à éviter, pour éviter le mauvais sort du seigneur.
Ses cheveux châtain se balançait au grès de la brise du soir, et l’eau avait ce reflet si beau et si insaisissable que l’esprit d’une jeune fille, dans la première période de printemps. Son pied frappa un objet dur et il sautilla en maudissant le dieu auquel il ne croyait. Se remettant de sa douleur, si précisément réduite a son petit doigts de pied, il ramassa l’objet et découvrit une petite bouteille verte, de fabrication artisanale, la faible lumière de la ville et de la lune ne lui permettait pas de voir ce qu’elle contenait, il la mit dans son sac pour l’observer plus attentivement chez lui, soudain quelqu’un descendit vers la plage dans ça directions en criant son nom.
Soudain, avant que l’autre homme lui parle même, il sentit que cette histoire touchait son père et n’étais pas de bonne augure.
L’homme haletant reprenant péniblement son souffle n’eut même pas le temps de dire une phrase, que le jeune homme lui dit avec tristesse ”Mon père est mort.. c’est ça.. ?”. L’autre homme surpris, lui jeta un regard et hocha doucement puis rapidement sa tête.
Sans perdre le temps de dire autre chose, il se précipita en direction de l’hôpital, il savait que son père s’y trouvait, son cœur le guidait vers son géniteur. Il courait a s’en déchirer les muscles, le regards angoissé sachant que son effort ne changerai rien au sort de la vie, justement, peut être se battait il inconsciemment dans son corps contre cette vie injuste, d’une vie sans mère, sans autre attache ou vrai amis que cette homme qui l’avait éduqué, qui lui avait appris la vie de marins et qui lui avait appris toutes ces histoires sur les étoiles, leurs noms, les constellations, qui étais censé représenter les cycles d’évolution de l’homme, plus rien n’avait d’importance que de courir, courir a s’en faire mal.
Il se rapprochât de l’hôpital, et dés qu’on lui ouvrit la porte, un docteur l’attendait déjà le regardant avec pitié.
"Je suis désolé.. , les mots sortait lentement de la bouche du médecin, comme si il s’étais formulé la phrase plusieurs fois dans la tête, nous n’avons rien pu faire..”, il le regarda sentant ses jambes défaillir sous le poids de l’émotion et de sa course effréné, il cria, ayant des difficultés a sortir ses mots ”Où.. !? Où est t’il ?!!”. Le docteur désigna la direction de la salle d’opérations, et tout de suite il repris sa cours dans la direction indiquée.
Le lendemain il se réveilla dans l’après midi, il avait passé la soirée a boire du rhum se forçant a fêter le départ vers les cieux de son père, comme son père lui avait demandé de faire pour lui permettre de plus facilement quitter la terre ferme, mais, le sourire étais dur a garder et il avais pleurer toutes le larmes de son corps tout en s’efforçant a rigoler.
Les amis de son père l’avait ramener chez lui.
Sa tête se balançait au gré de sa gueule de bois, et étais aussi lourde que l\’haleine qui sortais de sa bouche. Il se leva et se jeta de l’eau sur la figure, puis se regardant dans le miroir, vit l’homme le plus pathétique du monde. Il frappa son poing dans le mur, la douleur ne lui faisant rien dans son état de colère. Il se rasa, pris le temps de se laver, comme si l’eau le laverai aussi psychologiquement, puis se brossa les dents et pris son petit déjeuner.
Vers la fin de l’après midi il se prépara et se dirigeât vers l’hôpital. Arrivé la bas il demandât au docteur a ce que son père soit incinérer et qu’il puisent récupérer ses cendres. Le docteur n’y vit aucune objections sachant que son père n’étais pas un homme de religion. En sortant de l’hôpital il se sentais bien même si il aurais due être triste a cause du sort, le fait d’avoir fêter son départ lui avait facilité l’évacuation de toute ses émotions.
Quelques jours plus tard en rentrant de l’incinération, et habillé de son costume de deuil, il ouvrit son sac en se rappelant de sa trouvaille. La bouteille étais la devant lui a coté de l’urne de son père, il se décidât enfin après mur réflexion d’ouvrir la bouteille. L’ayant débouché, avec ce bruits typique du grincement des bouchons, il l’as retourna pour récupérer ce qu’elle contenait.